Maria Levy
Written By Maria Levy

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Comment choisir la bonne action en Bourse ?

Comment choisir la bonne action en Bourse ?

Choisir la bonne action consiste à analyser plusieurs critères essentiels et à se préparer avec méthode avant d’investir. Cette démarche permet de construire un portefeuille rentable sur le long terme et d’éviter des pièges fréquents.

1. Préparation avant le choix

Avant d’acheter, il faut ouvrir un compte-titres ou un PEA et apprendre les bases de l’analyse fondamentale et technique. Il est normal d’hésiter face à la grande diversité d’actions. Le plus important est de définir une short liste d’actions potentiellement intéressantes.

Aux États-Unis, plus de 9000 sociétés sont cotées, et en Europe, plus de 8000. La sélection doit cibler celles capables d’améliorer votre performance future.

2. Critères généraux de sélection

Certaines actions méritent d’être écartées :

  • Entreprises avec l’État comme actionnaire, souvent destructrices de valeur.
  • Secteurs très dépendants des décisions politiques comme médias, défense ou services publics.
  • Entreprises basant leur avantage concurrentiel uniquement sur les prix.
  • Start-ups cotées, trop imprévisibles et mal rodées à la communication financière.
  • Ne pas faire preuve de patriotisme boursier : l’international est souvent plus sûr, notamment sans risque de change dans la zone euro.

3. Critères indispensables pour bien choisir une action

3.1 Évolution du BPA sur 7 à 10 ans

Le bénéfice par action (BPA) révèle la rentabilité et la création de valeur. Il faut analyser la tendance sur un long cycle et non sur une seule année pour éviter les faux espoirs.

Une action comme Air Liquide montre une croissance régulière du BPA. En revanche, les banques françaises présentent un bilan plus fragile.

3.2 Identification des relais de croissance

Au-delà des chiffres, il faut analyser la stratégie qualitative de l’entreprise. Les relais de croissance déterminent les bénéfices futurs.

Par exemple, Apple a dominé avec l’iPhone mais voit ses bénéfices ralentir à cause de la concurrence et de la banalisation des produits. Son avenir repose sur ses nouvelles activités comme le paiement mobile et le streaming.

Pour simplifier, consignez ces relais dans un tableau. Choisissez de préférence des secteurs que vous comprenez bien.

3.3 Position concurrentielle

Privilégiez les leaders du marché. Coca-Cola, leader mondial des boissons, illustre parfaitement ce critère grâce à sa présence mondiale, sa marque forte et son influence culturelle.

Choisir un deuxième ou troisième acteur peut être acceptable, mais évitez absolument les secteurs trop concurrentiels où la guerre des prix règne, comme le textile de masse.

3.4 Pérennité financière

3.4 Pérennité financière

La dette nette par rapport aux capitaux propres est souvent évoquée. La dette nette s’obtient en soustrayant la trésorerie de la dette brute.

Un ratio bas est généralement préférable, mais ce critère doit être pondéré selon le secteur. Par exemple, la construction tolère plus d’endettement.

4. Méthode d’investissement pratique : le cas du CAN SLIM

4.1 Étapes préalables à l’achat

  1. Vérifier la tendance générale du marché.
  2. Étudier les fondamentaux de l’entreprise et de son secteur.
  3. Analyser les données techniques.
  4. Examiner les graphiques de l’action.

4.2 Conseils complémentaires

Ces informations, bien que clés, sont souvent fragmentées et coûteuses. Certains abonnements spécialisés, comme celle à IBD, rassemblent ces données et optimisent la prise de décision.

Utiliser une check-list complète à l’achat est utile. Aucun critère n’est systématiquement rempli, mais certains comme un marché en tendance haussière ou un fort score composite sont indispensables.

5. Liste des critères quantitatifs

Critère Description Seuil recommandé
PER Valorisation de l’entreprise À analyser sectoriellement
PBR Rapport cours/valeur comptable
Rendement net Dividende par rapport au cours
ROE Rentabilité des capitaux propres > 15%
PCF Fiabilité du cash flow < 10
PSR Valorisation basée sur le chiffre d’affaires < 2
PEG Ratio croissance intégrée
Taux de dette
Trésorerie
Marge
Leverage
Dividende/Cash Flow
VMC 10 ans Variation moyenne du cours
VMD 10 ans Variation moyenne des dividendes
Performance sur 10 ans

Ces critères sont combinés dans un outil de notation renforçant la pertinence de l’achat. Chaque critère peut varier selon le secteur d’activité.

6. Sources d’information et outils

Bien qu’un grand nombre de sites fournissent ces données, ils restent souvent fragmentés et parfois payants. Se tourner vers des abonnements regroupant les indicateurs et une base de données complète peut économiser un temps précieux et maximiser les chances de succès.

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Un tableur personnalisé regroupant ces critères facilite la synthèse et le suivi de plusieurs actions.

7. Résumé des conseils pratiques

  • Acheter en cas de tendance de marché haussière confirmée ou sous pression.
  • Privilégier les actions avec un fort score composite incluant rating et EPS.
  • Rechercher un breakout graphique clair pour confirmer l’achat.
  • Respecter une checklist rigoureuse avant l’achat, sans attendre la perfection.
  • Établir une stratégie de sortie avant l’achat pour savoir quand vendre.

Points clés à retenir

Points clés à retenir

  • Se préparer et établir une short liste d’actions pertinentes.
  • Éviter les actions avec des modèles économiques faibles ou dépendantes de l’État.
  • Évaluer soigneusement le BPA à long terme et les relais de croissance.
  • Privilégier des leaders solides avec une bonne position concurrentielle.
  • Contrôler la pérennité financière via des ratios adaptés au secteur.
  • Utiliser des outils et une méthode rigoureuse (ex. CAN SLIM) avant l’achat.
  • Planifier la sortie pour maximiser le profit et réduire les pertes.

Comment choisir la bonne action ? Le guide complet pour investir malin

Choisir la bonne action, c’est avant tout une question d’action — la bonne, au bon moment. Ce conseil paraît simple, mais il résume parfaitement la complexité du choix en Bourse. L’action, qu’elle soit dans la vie ou en investissement, conditionne la réussite. Sauf que faire n’importe quoi, au hasard, ou au mauvais moment, ça ne marche pas. Alors, comment s’y prendre ? Plongeons dans ces clés essentielles ensemble, avec un peu d’humour et beaucoup de pragmatisme.

1. Pourquoi l’action importe (et le timing encore plus)

Imaginons un instant : vous rêvez d’un potager magnifique, mais vous ne plantez jamais les graines. Résultat ? Rien ne pousse. En Bourse, c’est pareil. Sans action, pas d’évolution. On n’atteint pas ses objectifs. D’ailleurs, un adage à se rappeler : « Action is required to reach your BIG goals ». Entrer en Bourse, c’est agir.

Cependant, attention à ne pas faire n’importe quoi au mauvais moment. Une bonne action avec un mauvais timing peut conduire au fiasco. Par exemple, imaginez lancer une campagne marketing explosive pendant les vacances d’été, quand tout le monde est au bord de la mer : raté. En Bourse, l’analogie vaut aussi. Acheter au pire moment ou au mauvais moment, c’est s’exposer aux malentendus, aux inconvénients, voire à la catastrophe financière.

« Wrong action or the wrong time can lead to misunderstandings, inconvenience, even disaster. »

2. Les leçons des Quatre Petits Cochons : une véritable école du choix stratégique

Si vous avez entendu parler de ces petits cochons bâtisseurs, vous savez que leur histoire illustre parfaitement l’idée d’agir bien et au bon moment.

  • Premier cochon : construit sa maison en paille vite fait, mais juste avant une tempête. Il s’agissait de la bonne action (construire une maison), mais au mauvais moment. Résultat : la maison s’envole.
  • Deuxième cochon : bâtit une maison en brindilles au bon moment, mais sans plan. Mauvaise action, bon timing : une maison inutilisable.
  • Troisième cochon : envisage un village en briques, mais une pénurie empêche la construction. Mauvaise action et mauvais timing, un échec cuisant.
  • Quatrième cochon : prépare soigneusement son approvisionnement en briques et construit au bon moment. La bonne action au bon timing. Maison solide garantie.

Cette fable simple illustre bien l’importance de la préparation et du discernement pour choisir une action profitable. Ça vous rappelle quelque chose en Bourse ? On en reparle plus bas dans la sélection d’actions.

3. La “Loi du Timing” de John Maxwell pour guider son choix

John Maxwell, grand gourou du leadership, explique que le timing d’une action pèse autant que la nature de l’action elle-même.

  • Action juste, mauvais moment : vous pouvez faire la bonne chose, mais si le contexte n’est pas prêt, vous rencontrerez de l’opposition. Par exemple, lancer un produit innovant dans un marché saturé, ça coince.
  • Mauvaise action, bon moment : on agit au bon moment, mais la décision est mauvaise. Ça donne lieu à des résultats mitigés, mais souvent récupérables.
  • Mauvaise action, mauvais moment : la combo du désastre, à éviter comme la peste. C’est la recette d’un échec cuisant.
  • Action juste, bon moment : le jackpot. La bonne décision au bon moment mène à la réussite. C’est l’objectif ultime.
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4. Concrètement, comment identifier la bonne action en Bourse ?

Passons aux choses sérieuses. Après avoir préparé votre compte en Bourse, maîtrisé un peu d’analyse fondamentale et technique, comment savoir quelle entreprise mérite votre argent ? Voici la recette du succès :

4.1 Évitez les actions évidentes à proscrire

  • Ne succombez pas à la tentation de tricher, de voler, ou de mentir sur le marché (non, ce n’est pas un conseil pour votre voisin).
  • Écartez les entreprises étatiques trop dépendantes, souvent plombées par la politique et une gestion peu orientée vers la valeur.
  • Fuyez les sociétés basées sur une concurrence uniquement par les prix. Warren Buffett ne vous contredira pas.
  • Ne tombez pas non plus dans l’amour aveugle pour les startups cotées, souvent trop instables et mal rodées à la communication.

4.2 Focus sur les critères décisifs

4.2 Focus sur les critères décisifs Critère 1 : L’évolution du BPA (Bénéfice Par Action) sur 7 à 10 ans

Regarder seulement l’année en cours, c’est comme regarder un seul épisode d’une série : on rate le fil rouge. Analysez les bénéfices sur plusieurs années pour repérer une tendance durable. Air Liquide, par exemple, affiche une croissance régulière, contrairement à certaines banques françaises moins séduisantes.

Critère 2 : Les relais de croissance

La qualité d’une action, c’est aussi son potentiel d’innovation et sa capacité à évoluer. Apple s’essouffle sur ses produits majeurs, mais mise sur le paiement mobile ou le streaming pour rebondir. Identifiez ces futurs moteurs pour juger du potentiel.

Critère 3 : La position concurrentielle

Favorisez les leaders. Coca-Cola domine le marché grâce à une marque puissante, une association stratégique avec le sport et la culture. Mais ce n’est pas toujours le numéro 1 absolu qui est gagnant, les places d’honneur peuvent suffire.

Critère 4 : La pérennité financière

Ne vous fiez pas aveuglément au taux d’endettement. Un ratio dette nette/capitaux propres trops bas est rassurant, mais méfiez-vous des pièges. Regardez aussi la trésorerie, la marge, et la capacité à générer des flux fiables.

5. Méthode pratique : Le CAN SLIM simplifié

Pour les fans de méthode, le CAN SLIM offre une feuille de route claire avant d’acheter :

  1. Analysez la tendance générale du marché. Pas question d’acheter quand tout part à la baisse !
  2. Vérifiez les fondamentaux : leader sectoriel, croissance régulière des bénéfices, solide santé financière.
  3. Jetez un œil technique : prix au-dessus de 15-20 $, volume de transactions conséquent, présence d’investisseurs institutionnels.
  4. Recherchez la figure graphique d’accumulation qui indique un intérêt élevé avant la montée.

Au final, vous aurez votre rang d’action favoris prêt à l’emploi.

6. Les 15 critères quantitatifs pour peaufiner votre choix

Critère Description rapide
PER (Price Earning Ratio) Valorisation par rapport aux bénéfices
PBR (Price to Book Ratio) Comparaison cours/valeur comptable
Rendement net Dividende vs cours de l’action
ROE (Return On Equity) Rentabilité des capitaux propres (idéal > 15%)
PCF (Price To Cash Flow) Fiabilité des flux de trésorerie (< 10 intéressant)
PSR (Price to Sales Ratio) Valorisation basée sur le chiffre d’affaires (< 2 conseillé)
PEG Ratio intégrant la croissance
Taux d’endettement Évalue la dette
Trésorerie Liquidités disponibles
Marge Capacité à maintenir des profits
Leverage Effet de levier financier
Dividende/Cash Flow Durabilité du dividende
VMC 10 ans Variation moyenne du cours sur 10 ans
VMD 10 ans Variation moyenne des dividendes sur 10 ans
Performance cours 10 ans Rendement global

Intégrer ces critères dans un tableau récapitulatif, c’est votre meilleur ami pour structurer votre analyse. Sans verser dans la folie, il est conseillé de privilégier les actions qui cumulent la majorité de ces indicateurs positifs.

7. Des conseils pour agir au bon moment et avec justesse

  • Gardez des objectifs clairs : Que ce soit pour une action du jour ou un projet à long terme, un cap défini permet d’éviter les décisions impulsives.
  • Planifiez les étapes : Répartissez votre timeline et vos actions, puis suivez votre progression. Une checklist, c’est magique.
  • Écoutez votre intuition : Trop planifier peut paralyser, alors laissez place à votre ressenti pour activer votre action décisive.
  • Restez flexible : Un plan est une base, pas une cage. Adaptez vos mouvements si la situation évolue.
  • Surveillez vos résultats : Si ça coince, réévaluez votre jeu. Ne laissez pas une mauvaise action s’éterniser.
  • Patience : Le succès réclame du temps. Ne vous attendez pas à des miracles instantanés.
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8. Exemple concret : le parcours fitness de Megan

Passons au concret : Megan veut se remettre en forme, et voici son carnet d’erreurs et d’apprentissages.

  • Bonne action, mauvais timing : Megan décide d’un seul coup de faire 2 heures de sport. Résultat ? Courbature et impossibilité de continuer les jours suivants. Effort louable mais mal dosé dans le temps.
  • Mauvaise action, bon timing : Megan prévoit une séance le matin mais procrastine sur Facebook. Mauvais choix d’action, bonne volonté au départ. Résultat : séance ratée.
  • Mauvaise action, mauvais timing : Elle regarde une série jusqu’à 1h du matin, rate son réveil à 5h, manque la séance. L’échec complet.
  • Bonne action, bon timing : Elle planifie 15-20 minutes le matin puis l’après-midi, jongle entre marche, gym et exercices à la maison. Progrès assuré et habitude prise.

Cette mini histoire illustre que l’action et le timing sont deux piliers d’une réussite durable.

9. En conclusion : faites le choix éclairé

L’action est toujours nécessaire. Mais faites le tri : la bonne action au bon moment change tout. Clarté sur vos objectifs, préparation méthodique, souplesse dans l’exécution, patience et confiance en votre instinct sont vos alliés.

Le succès ne se résume pas à agir vite, ni à multiplier les coups, mais à agir juste. En Bourse ou ailleurs, ce principe est indéboulonnable.

10. Pour aller plus loin

Si le sujet vous passionne, je vous recommande la lecture de John Maxwell The 21 Irrefutable Laws of Leadership et Jeff Olson avec The Slight Edge. Deux ouvrages qui apportent un éclairage indispensable pour avancer dans votre Excelerated LifeTM.

Et vous, avez-vous déjà fait le mauvais choix au mauvais moment ?

N’hésitez pas à partager vos anecdotes dans les commentaires. Comme Megan, nous apprenons tous en cheminant. C’est ça, l’Excelerated MovementTM : progresser vers ses objectifs avec justesse, méthode, et un soupçon d’audace.


Quels sont les risques de choisir une mauvaise action au mauvais moment ?

Une mauvaise action au mauvais moment peut causer des malentendus, des inconvénients ou un échec total. Par exemple, lancer un produit quand le marché est saturé risque de nuire gravement à l’entreprise.

Comment savoir si une action est la « bonne » action à prendre ?

Il faut éviter les actions contraires à l’éthique comme mentir ou tricher. Ensuite, reconnaître ses erreurs rapidement permet de corriger les actions qui ne mènent pas aux résultats souhaités.

Pourquoi le timing est-il aussi important que l’action elle-même ?

Une bonne action au mauvais moment peut réduire son efficacité. Le bon timing maximise l’impact de l’action et diminue la résistance des autres ou des circonstances.

Comment identifier le bon moment pour agir ?

Il faut faire preuve de patience, être stratégique et prêt à saisir l’opportunité quand elle se présente. Il s’agit aussi d’éviter la précipitation et de rester flexible face aux changements.

Qu’impression tire-t-on de la métaphore des Quatre Petits Cochons pour choisir une action ?

Cette métaphore illustre quatre scénarios de combinaison action/moment : bonne action au bon moment mène au succès, tandis que les autres cas entraînent échecs ou calculs erronés.

Comment réagir si l’action choisie ne donne pas les résultats attendus ?

Il faut rapidement identifier l’erreur et ajuster son approche pour éviter d’aggraver la situation ou de perdre du temps inutilement.

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