Quel était l’état de santé de la reine Elizabeth II ?
La reine Elizabeth II a souffert en secret d’un cancer de la moelle osseuse durant ses dernières années. Cette maladie explique plusieurs symptômes visibles durant sa fin de vie, dont la douleur osseuse, la fatigue, la perte de poids et ses difficultés à se déplacer.
Le cancer de la moelle osseuse (myélome) : un secret médical
Un livre biographique inédit de Gyles Brandreth, ami proche du prince Philip, révèle que la souveraine combattait un myélome, un cancer affectant la moelle osseuse. Ce type de cancer provoque souvent des douleurs dans le bassin et le bas du dos.
- Le myélome est plus fréquent chez les personnes âgées.
- La nature de cette maladie explique les symptômes physiques observés, notamment la fatigue et la mobilité réduite.
- Le traitement vise à atténuer les douleurs et ralentir la progression, mais n’offre pas de guérison définitive.
Cette révélation provient d’une biographie partiellement publiée dans le Daily Mail et n’a pas été confirmée officiellement par le palais de Buckingham.
Symptômes observés et autres problèmes de santé
Outre le cancer présumé, la reine a montré plusieurs signes de déclin physique :
| Symptômes | Détails |
|---|---|
| Douleurs osseuses | Principal symptôme du myélome, surtout dans le bassin et le dos |
| Problèmes de mobilité | Usage d’une canne dès octobre 2021, souvent prêtée par le prince Philip |
| Perte de poids et fatigue | Observées dans la dernière année de vie |
| Problèmes visuels | Chirurgie de la cataracte en 2018, vision déclinant avant le décès |
| Problèmes auditifs | Détérioration signalée les dernières semaines |
| Blessures | Entorses du dos en 2018 et 2021, chirurgie du genou en 2003 |
Autres conditions et événements de santé
- Hospitalisation en 2013 pour gastroentérite à 86 ans.
- Infection au Covid-19 début 2022 avec symptômes légers.
- Accident de cheval en 1994 ayant causé une fracture du poignet gauche.
Déclaration officielle et réactions
Le certificat de décès officiel mentionne comme cause « vieillesse » ou « causes naturelles ». Aucun communiqué public n’a confirmé le diagnostic de cancer.
L’ancien Premier ministre Boris Johnson a évoqué le cancer de la reine dans ses mémoires, décrivant sa fragilité croissante et des ecchymoses potentiellement liées aux traitements.
Un porte-parole royal a déclaré que personne ne peut confirmer le diagnostic, soulignant que les documents royaux restent secrets pendant un siècle.
Leadership et résilience malgré la maladie
Malgré la douleur et la maladie, la reine Elizabeth II est restée active. Elle a poursuivi ses engagements officiels et pris des décisions importantes, notamment lors d’événements familiaux délicats.
Sa ténacité a été visible jusqu’à ses derniers jours, affichant lucidité et volonté face au déclin physique.
Points essentiels à retenir
- La reine Elizabeth II a secrètement souffert d’un myélome, un cancer de la moelle osseuse.
- Ce cancer explique ses douleurs osseuses, sa fatigue, et ses problèmes de mobilité observés à la fin de sa vie.
- Le certificat de décès cite la vieillesse comme cause officielle, sans mention de cancer.
- Autres problèmes de santé incluent troubles visuels, auditifs, et diverses blessures.
- Elle a continué à assurer ses fonctions malgré la maladie et la douleur.
Que souffrait réellement la Reine Elizabeth II ? Une plongée dans les coulisses de sa santé
La question “Que souffrait la Reine Elizabeth ?” revient souvent après son décès en 2022. Officiellement, le certificat de décès mentionne “vieillesse”, mais de nombreuses sources proches révèlent une réalité plus complexe, mêlant discrétion royale, douleurs sourdes et un combat secret contre une maladie redoutable.
Décédée à 96 ans au château de Balmoral, elle a traversé ses dernières années avec une santé fragile, sans jamais vouloir trop dévoiler sa vulnérabilité au public.
Un cancer caché dans l’ombre : la myélome, ce mot difficile à dire mais qui explique tout
Gyles Brandreth, auteur et ami proche de la famille royale, livre une information choc dans sa biographie prochainement publiée, Elizabeth: An Intimate Portrait. Il y révèle que la reine luttait contre un cancer de la moelle osseuse, appelé myélome.
Ce cancer, qui affecte principalement les personnes âgées, est cruel car il s’attaque aux os, provoquant des douleurs souvent intenses, en particulier dans le bassin et le bas du dos. Ces douleurs persistantes ont été une constante dans les dernières années de la souveraine.
Cette maladie explique parfaitement les signes visibles de son déclin : fatigue chronique, perte de poids et des problèmes de mobilité que le public a pu remarquer, comme lorsqu’elle a commencé à se déplacer avec une canne à partir d’octobre 2021.
Le myélome détruit la capacité de la moelle osseuse à produire des cellules sanguines normales, ce qui peut entraîner une grande fatigue. Malgré tout, Elizabeth II a poursuivi ses engagements royaux avec stoïcisme.
Une douleur sourde, un combat discret
Les douleurs osseuses provoquées par le myélome sont souvent décrites comme “difficiles à vivre”. Le fait que la Reine ait ressenti ces symptômes se combine avec d’autres incidents médicaux. Par exemple, elle avait souffert de blessures au dos, notamment une entorse en 2018 et en 2021, qui ont aggravé sa mobilité.
Vous voyez les signes classiques : marche avec une canne, recul des apparitions publiques et un isolement grandissant. Mais au-delà de la douleur physique, ces troubles semblaient miner sa vigueur, même si mentalement elle restait alerte jusqu’à la toute fin.
Des indices cachés dans ses apparitions publiques
Lors d’apparitions publiques, les observateurs remarquaient sa silhouette plus fine, ses déplacements plus lents. L’utilisation régulière d’une canne, parfois prêtée par feu le prince Philip, trahissait une situation plus sérieuse que ce que communiquait Buckingham Palace.
Boris Johnson, ancien Premier Ministre britannique, a également confirmé dans ses mémoires que la Reine était bien atteinte de ce cancer osseux. Il décrit un visage pâle, des ecchymoses sur les mains et poignets, signes de perfusions ou injections régulières, preuves discrètes du traitement qui lui permettait de vivre “un jour après l’autre”.
Les autres défis physiques et médicaux de la monarchie
- En 2018, elle a subi une chirurgie des yeux pour une cataracte, signe que la vision déclinait également.
- Son audition a également diminué, compliquant encore ses visites et réunions.
- Elle a affronté un épisode de gastro-entérite en 2013, ce qui a nécessité une hospitalisation.
- Un test positif au COVID-19 en début 2022, dont elle s’est remise avec des symptômes bénins.
Tout cela s’ajoute à une série d’accidents, comme une fracture du poignet en 1994 lors d’une chute à cheval et une chirurgie du genou en 2003.
Comment la Reine a-t-elle continué à régner malgré la douleur ?
Si la reine a préféré garder le secret sur ses problèmes de santé, elle n’a jamais renoncé à ses devoirs. Malgré les signes visibles de douleurs et de fatigue, elle est restée mentalement éveillée et déterminée. Elle a pris des décisions importantes, comme révoquer les fonctions royales du prince Andrew, montrant sa capacité à diriger malgré ses souffrances.
On peut presque imaginer cette femme forte, serrant les dents face à la douleur, transmettant à son peuple un message clair : dignité et devoir avant tout. Son poignet fragile, son dos douloureux, un poids moins lourd et un pas ralenti — autant de batailles menées en silence.
Pourquoi Buckingham Palace est resté discret ?
Le palais n’a jamais officiellement confirmé la maladie. La tradition royale veut préserver certaines informations médicales, assurant intimité et respect à la famille. Le certificat de décès inscrit simplement “vieillesse” comme cause.
Le mystère est entretenu – et avec lui, une aura presque mythique. Mais la vérité dévoilée par des proches et des auteurs engagés éclaire désormais un peu plus cette facette humaine d’Elizabeth II.
Que retenir de cette histoire ?
La reine Elizabeth II n’était pas seulement un symbole, elle était une femme réelle aux prises avec une maladie difficile. Le myélome osseux a marqué son existence dans ses dernières années, provoquant douleurs et limitations. Pourtant, elle a continué à régner, à inspirer, à présider avec une résilience remarquable.
Cela soulève des questions : Quand la santé publique rencontre-t-elle la rigueur de la monarchie ? Comment ceux que l’on imagine immortels gèrent-ils leurs fragilités invisibles au public ?
Finalement, son combat discret contre le cancer révèle une dimension très humaine d’une souveraine qui, jusqu’au bout, a fait passer son devoir avant tout.
En résumé :
| État de santé | Détails |
|---|---|
| Cancer de la moelle osseuse (Myélome) | Douleurs osseuses, fatigue, perte de poids, mobilité réduite |
| Problèmes de mobilité | Utilisation d’une canne à partir d’octobre 2021, entorses au dos |
| Autres affections | Cataracte, diminution de l’audition, traumatismes physiques |
| Officiel | Cause du décès : vieillesse, aucune annonce publique sur le cancer |
Alors, la Reine Elizabeth II, malgré ses faiblesses physiques en fin de vie, nous donne une leçon : même au sommet du pouvoir et des fastes, la fragilité humaine est omniprésente, souvent cachée, mais jamais vaincue.
De quelle maladie souffrait secrètement la reine Elizabeth II dans ses dernières années ?
La reine Elizabeth II souffrait d’un cancer de la moelle osseuse, appelé myélome multiple. Cette maladie provoque principalement des douleurs osseuses, notamment dans le bassin et le bas du dos.
Quels symptômes visibles chez la reine indiquaient cette maladie ?
On a souvent observé une fatigue importante, une perte de poids, des problèmes de mobilité, et une douleur osseuse persistante durant sa dernière année de vie.
Le palais de Buckingham a-t-il confirmé officiellement ce diagnostic ?
Non, aucun communiqué officiel n’a confirmé le diagnostic de cancer. La cause officielle de son décès a été enregistrée comme étant liée à la vieillesse.
Comment la reine a-t-elle géré sa maladie tout en continuant ses fonctions ?
Elle a poursuivi ses engagements royaux malgré la douleur et la fatigue, montrant un leadership constant et une forte endurance jusqu’à ses derniers jours.
Quelles autres conditions de santé ont affecté la reine Elizabeth II ?
Elle a souffert de problèmes de vision, de perte auditive, de douleurs au dos, ainsi que d’une infection au COVID-19 en 2022, en plus de plusieurs blessures antérieures.